« Quel projet de société voulons-nous pour la France ? » – Interview de Christophe Quesne
Christophe Quesne nous apporte son regard sur l’impact des activités de Services pour les Français et dans les territoires.
Christophe Quesne nous apporte son regard sur l’impact des activités de Services pour les Français et dans les territoires.
À l’approche de l’élection présidentielle, le Groupement des Professions de Services vient de publier son manifeste : « L’économie des services, une force pour la France »
Le Groupement des Professions de Services (GPS) salue la mémoire de Pierre Bellon, l’un de ses membres fondateurs.
Alors que le Gouvernement vient de présenter le bilan de la première année du plan de relance et qu’il prépare le plan d’investissement annoncé par le Président de la République, le Groupement des Professions de Services demande qu’une partie du plan de relance soit fléchée vers les Services, pour soutenir leur reprise d’activité et leur transformation numérique et digitale.
Le 6 avril 2021, Fanny Favorel-Pige prendra ses fonctions de nouvelle Déléguée générale du GPS. En soutien de Damien Verdier, Président du GPS, elle animera le réseau des fédérations et entreprises, assurera la promotion de l’économie et des emplois de Services dans le débat public et accompagnera son développement dans un contexte de profondes mutations.
Près d’un an après le début de la crise du Covid-19, la dernière publication de l’INSEE sur l’emploi salarié privé confirme que les Services ont été les plus brutalement affectés par les crises sanitaire et économique 1 295 000 des 320 000 emplois privés détruits en France en 2020 l’ont été dans les Services, soit près de 92 % de l’ensemble des emplois privés supprimés.
La décision du gouvernement de relancer le dispositif dit de « bonus-malus » sur la cotisation d’assurance-chômage est un mauvais signal envoyé à des entreprises de services déjà très fortement fragilisées par la crise, alors que le niveau d’activité des prochains mois inquiète fortement les chefs d’entreprises. En maintenant un dispositif qui alourdit le coût du travail et pénalise particulièrement les entreprises de services intensives en main d’œuvre, l’exécutif va à l’encontre de son ambition de faire de l’emploi la priorité de son action.
Face à une crise inédite, les services alertent le gouvernement. Priorité aux reconversions, à la formation et à la numérisation.
Sans contester le bien-fondé de la décision du gouvernement en matière sanitaire, le GPS se déclare aujourd’hui très préoccupé par la situation économique des entreprises de la plupart des secteurs d’activité qu’il représente.
Le Groupement des Professions de Services est aujourd’hui très préoccupé par la situation économique des entreprises et des secteurs d’activité qu’il représente. Il alerte les pouvoirs publics sur les conséquences des mesures annoncées par le Ministre de la santé sur des pans entiers de l’économie de services dans notre pays. Et bien sûr, au premier rang de ceux-ci, sur l’hôtellerie-restauration, l’évènementiel, le monde du tourisme et de la culture – sans oublier les entreprises de secteurs connexes qui vont continuer à souffrir.
Le Premier Ministre et son gouvernement ont placé à juste titre l’emploi au coeur du plan historique de relance de l’économie présenté le 3 septembre 2020. Le Groupement des Professions de Services salue cet effort inédit pour préparer l’avenir et transformer l’économie de notre pays.